Accompagnement de la construction de la première unité de production d’hydrogène de Dijon
La métropole bourguignonne s’équipe pour alimenter progressivement ses bus et ses camions bennes en hydrogène vert, à compter de 2022. SOCOTEC prend part au développement de la première unité de production et stations de recharges.
Informations clés
Nom du projet : Accompagnement de la construction de la première unité de production d’hydrogène de Dijon
Date : Début du chantier en mai 2021
Client : DMSE (Dijon Métropole Smart EnergHy)
Lieu: Dijon, Côte d’or
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Détails du projet
Les plans européens et français visant à décarboner nos moyens de transports prévoient que 12 à 14% des véhicules soient alimentés en hydrogène d’ici 2050. La métropole de Dijon prend les devants en installant deux stations de production d’hydrogène vert. Ainsi dès 2022, elle sera la première ville de France équipées de bus et de camions bennes à ordures ménagères alimentés en hydrogène. Le projet permettra de réduire dès 2023 les émissions CO2 des transports publics du territoire de 1 726 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de 24 millions de kilomètre en voiture citadine.
Pour les alimenter deux sites de production d’hydrogène, associés à deux stations de recharge, sont en projet. L’entreprise Rougeot Energie est en charge de la conception et du développement de ce projet.
L’hydrogène devient un vecteur d’énergie durable à partir du moment où il est produit à partir d’énergies renouvelables. La production d’hydrogène passe par l’électrification de l’eau : c’est le principe de l’électrolyse. La première station produira directement son électricité via une unité d’incinération des déchets. Les camions bennes seront ainsi alimentés indirectement par les ordures qu’ils collectent.
Description des missions confiées
- Contrôle Technique de la construction des deux unités de productions et stations de recharge
- Coordination SPS des chantiers
Crédit photo : ©SIZ’IX Architectes
« Nous sommes très fiers de prendre part à notre niveau à ce projet ambitieux et hautement symbolique. C’est une étape décisive dans le développement de solutions alternatives de mobilité, allant dans le sens de la transition écologique ».
